Avila
Ca y est, je l’ai fait ! J’ai gravi les 2600 mètres de l’Avila, la montagne qui abrite Caracas… Un sacré périple… Je vous raconte. D’abord rendez-vous plaza de Francia avec Pamela, Jonathan un collègue de boulot avec qui je suis devenu super pote, et Natalia, sa copine. De là on a pris una camioneta, pour arriver en bas de la montagne. Comme c’était l’heure du petit déjeuner, on en a profité pour manger un bout. Au menu, empanadas con carne mechada (à la viande pour les incultes), jugo natural de coco et un petit café noir. Les empanadas étant super bonnes j'en ai repris deux fois. Ensuite on a marché le long de la montagne pendant au moins une demi heure (en fait, le dimanche ils ferment ce coin de rocade, ce qui fait qu’on marche sur du béton tout le long). Puis de nouveau une nouvelle pause. Il ne s’agit pas de se laisser abattre. Il y avait là una señora simpatica, je lui acheté una tizana pour chacun d’entre nous (une salade de fruits très sucrée et très fraiche). Notre encas englouti, on a commencé à grimper pour une demi-heure de plus histoire de prendre quelques photos. Là-haut, un petit coin mignon comme tout nous attendait pour prendre un nouveau petit café: Ca tombait bien, j'avais fini mes pâtes de fruit à la goyave…
Plaza de Francia, monument (très laid) inauguré par la social-démocratie de l'époque (Carlos Andres Perez) et François Mitterrand en hommage au bicentenaire de la Révolution.
La montée avec Pamela
La pause tizana